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841 étudiants* diplômés d'une Licence Professionnelle en 2019 à l'uB ont été interrogés entre décembre 2021 et mai 2022 sur leur situation, 18 et 30 mois après l'obtention du diplôme.
492 diplôméss ont répondu soit un taux de réponse brut de 59 %.
Situation des répondants, 30 mois après l'obtention du diplôme obtenu en 2019
Situation des actifs (exclusion des étudiants en poursuite d'études et des inactifs) :
92 % : en emploi
8 % : à la recherche d'un emploi
* Champ de l'enquête : tous les étudiants diplômés de Licence professionnelle à l'uB en 2019. Enquête réalisée par l'uB dans le cadre d’un dispositif national du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Lire la suite : Devenir et insertion des diplômés en 2019 d'une Licence pro de l'uB
1 207 étudiants* diplômés d'un DUT en 2020 à l'uB ont été interrogés entre décembre 2022 et mai 2023 sur leur situation, 30 mois après l'obtention du diplôme.
781 étudiants ont répondu soit un taux de réponse brut de 65 %.
Situation des répondants (hors ceux en poursuite d'études), 30 mois après l'obtention du diplôme obtenu en 2020.
Situation des actifs (exclusion des étudiants en poursuite d'études et des inactifs) :
88 % en emploi
12 % à la recherche d'un emploi
* Champ de l'enquête : tous les étudiants diplômés de DUT à l'uB en 2020. Enquête réalisée par l'uB dans le cadre d'un dispositif national du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Lire la suite : Devenir et insertion des diplômés en 2020 d'un DUT de l'uB
1 984 étudiants* diplômés d'un Master 2 en 2017 à l'uB ont été interrogés en juin 2018 sur leur situation, 9/12 mois après l'obtention du diplôme.
944 diplômés ont répondu à l'enquête soit un taux de réponse brut de 47 %.
Situation des répondants, 9/12 mois après l'obtention du diplôme obtenu en 2017 (hors Master MEEF)
Situation des actifs (hors étudiants en poursuite d'études et inactifs, hors Master MEEF)
83 % : en emploi
17 % : à la recherche d'un emploi
* Champ de l'enquête : ensemble des étudiants diplômés de la promotion 2017 en Master 2 et Master MEEF en 2017. Enquête réalisée par l'uB.
Lire la suite : Devenir et insertion à 9/12 mois des diplômés 2017 d'un Master 2 de l'uB
2 112 étudiants* diplômés d'un Master 2 (LMD et MEEF) en 2020 à l'uB ont été interrogés en décembre 2022 sur leur situation, 30 mois après l'obtention du diplôme.
1 267 diplômés ont répondu à l'enquête, le taux de réponse brut est de 60 %.
Situation des répondants, 30 mois après l'obtention du Master 2 obtenu en 2020 (hors Master MEEF)
Situation des actifs (exclusion des étudiants en poursuite d'études et des inactifs)
92 % : en emploi
8 % : à la recherche d'un emploi
* Champ de l'enquête : tous les étudiants diplômés de Master 2 et Master MEEF à l'uB en 2020. Enquête réalisée par l'uB dans le cadre d’un dispositif national du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
RGPD actualité : consulter les mentions légales liées à la labellisation de l'enquête
Lire la suite : Devenir et insertion à 30 mois des diplômés 2020 d'un Master 2 de l'uB
L'Association pour Faciliter l'emploi des Jeunes - AFIJ mène chaque année deux enquêtes, l’une en avril et l’autre en septembre, sur l’insertion professionnelle des jeunes diplômés de l’année précédente. Les premiers résultats de l’enquête « 6 mois après » menée fin avril 2012 auprès des jeunes, diplômés en 2011, donnent une image de la situation et permettent de mesurer les évolutions par rapport aux années précédentes. Il s’agit d'un indicateur de tendance.
43% des jeunes, diplômés en 2011, sont en emploi en avril 2012.
Parmi ceux-ci, 62% sont en emploi durable (CDI ou CDD ou CTT plus de 6 mois) tandis que 38% ont un CDD ou CTT moins de 6 mois
57% des jeunes, diplômés en 2011, sont sans emploi en avril 2012.
Parmi eux, 44% ont occupé un emploi à durée déterminé depuis l’obtention de leur diplôme. Cette première expérience aura été pour 56% d’entre eux de moins de 3 mois, pour 36% de 3 à 6 mois et pour 8% de plus de 6 mois. Ils ont occupé le plus souvent un emploi d’attente (61%), correspondant moyennement à leur projet (16%) ou en adéquation pour 23%. Une part d’entre eux (22%) dispose de l’allocation chômage (à partir de 4 mois travaillés), tandis que d’autres sont bénéficiaires du RSA (17%).
en savoir + : Enquête insertion 6 mois après de diplôme AFIJ
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Ces fiches donnent des informations concernant la situation des diplômés 30 mois après l'obtention de leur Licence Professionnelle.
Elles sont élaborées à partir de données sur la qualité de l'emploi, sur les poursuites d'études éventuelles et incluent également des témoignages d'anciens étudiants.
Lire la suite : Les Fiches de synthèse des Licences Professionnelles du secteur Tertiaire
Lire la suite : Les Fiches de synthèse des Licences Professionnelles du secteur Secondaire
« Les diplômés de l'enseignement supérieur sont beaucoup moins nombreux à avoir perdu leur emploi pendant la crise économique mondiale que ceux qui ont quitté l'école sans qualification ». C'est ce qu'indique l'OCDE dans l'édition 2011 de « Regards sur l'éducation ». Dans l'ensemble des pays de l'OCDE, une moyenne de 83,6 % des personnes âgées de 25 à 64 ans diplômées de l'enseignement supérieur ont un emploi en 2009. L'année précédente, cette moyenne s'élevait à 84,6 %. Concernant les personnes diplômées du secondaire ou « post-secondaire non tertiaire », ce taux d'emploi atteint 74,2 %. Soit deux points de moins qu'en 2008 (76,1 %). Pour les personnes dont le niveau de formation est « inférieur au deuxième cycle du secondaire », le taux d'emploi s'élève à 56 % en 2009, contre 58,2 % en 2008. « Les individus peu qualifiés sont plus susceptibles d'être soit inactifs, soit au chômage », résume l'OCDE.
La France se situe aux alentours de ces moyennes. Pour les personnes ayant un niveau de formation supérieur, le taux d'emploi atteint 83,5 %. Pour celles disposant d'un niveau de formation du « second cycle du secondaire et post-secondaire non tertiaire », le taux est de 76,5 %. Enfin, pour les personnes n'ayant pas terminé leurs études secondaires, il est de 56,2 %.
ÉVOLUTION DU TAUX DE CHÔMAGE
L'OCDE note que le taux de chômage est resté « constant à 4,4 % en moyenne dans l'ensemble des pays de l'OCDE » pour les diplômés de l'enseignement supérieur. En revanche, il atteint 6,8 % chez les personnes diplômées du secondaire, et 11,5 % pour celles qui n'ont pas achevé leurs études secondaires. En 2008, ces taux de chômage étaient respectivement de 4,9 % et 8,7 %.
Cette tendance « s'ajoute à l'énorme problème du chômage des jeunes » âgés de 20 à 24 ans, note l'OCDE. Pour cette tranche d'âge, la proportion de chômeurs ayant un niveau de formation inférieur au deuxième cycle du secondaire est de 15 % en moyenne en 2009. Il dépasse même 20 % « dans un petit groupe de pays comprenant l'Estonie (23 %), l'Espagne (28 %), la France (30 %), la Pologne et la Slovaquie (22 %).
« LES ÉTATS DOIVENT MAINTENIR LEURS INVESTISSEMENTS »
« Le fait de quitter l'école sans diplôme est de plus en plus lourd de conséquences, tant pour les personnes concernées que pour la société dans son ensemble », souligne Angel Gurría, secrétaire général de l'OCDE. « Nous devons à tout prix éviter le risque d'une génération perdue. Malgré la restriction des budgets publics, les États doivent maintenir leurs investissements afin de préserver le niveau de qualité de l'enseignement, notamment pour les plus vulnérables », insiste-t-il.
L'avantage salarial brut associé à un diplôme de l'enseignement « est important » selon l'OCDE. Pour les hommes, il est de 339 000 dollars (247 940 euros) en moyenne, contre 233 000 (170 352 euros) dollars pour les femmes. En ce qui concerne la France, cet avantage salarial est de 291 000 dollars, soit 212 755 euros, pour les hommes, et de 191 000 dollars, soit 139 725 euros, pour les femmes.
UN INVESTISSEMENT QUI GÉNÈRE UN « RENDEMENT PUBLIC »
En outre, « l'investissement dans l'éducation génère aussi un rendement public », souligne l'OCDE. En effet, « l'élévation du niveau de revenus entraîne l'augmentation des cotisations sociales et des recettes fiscales, et la diminution des transferts sociaux ». En moyenne, un homme diplômé de l'enseignement supérieur versera, en moyenne, 91 000 dollars (66 642 euros) d'impôts sur le revenu et de contributions sociales au cours de sa vie active, un montant supérieur à celui que l'État a payé pour sa formation.
Ce « rendement public » s'élève à 64 000 dollars (46 874 euros) pour la France, et plus de 100 000 dollars (73 245 euros) pour l'Allemagne, les États-Unis, le Canada, la Finlande, la Hongrie et la Slovénie.
Source : AEF, dépêche n° 154979
Lire la suite : Regards sur l'éducation 2011 - OCDE
225 doctorants de l'uB ont soutenu leur thèse au cours de l'année 2012 et ont obtenu le titre de docteur. Ils ont été interrogés en décembre 2015 pour connaître leur situation 18 et 30 mois après la certification.
126 diplômés ont répondu à l'enquête, soit un taux de retour brut de 56 %.
Après en moyenne 30 mois sur le marché du travail, le taux d’insertion des docteurs de cette étude atteint 90 %. Parmi les personnes en emploi, 58 % occupent un emploi stable (CDI, fonctionnaire).
Situation des répondants, 30 mois après l'obtention du doctorat en 2012
Lire la suite : Devenir et insertion professionnelle des Docteurs de l'uB